Toutes Les Femmes SAppellent Marie : Marie Hélène Retrouve Sa Compagne
Nous quittons nos amis à la sortie de lautoroute et rejoignons le domicile de Maïté. Je sens que Marie est tendue. Son amie nous reçoit chaleureusement. Elle nous a préparé un repas et est impatiente que nous lui racontions notre semaine.
« Dabord toi, petit cachottier. Comment as-tu fait pour la séduire ? Je ne tai jamais vu la draguer !
Je ne lai pas draguée. Cest plutôt le contraire ! Elle sest offerte à moi ! » Je raconte alors comment cette fameuse nuit jai atterri dans sa chambre et que nous avons fait lamour.
Tu avais pensé à lui ma chérie ?
Non ! Cest le contexte et Marcel qui narrivait pas à bander qui mont excitée. Je lai trouvé craquant de ne pas me solliciter. Tu sais que jaime dormir nue. En tournant la clé de la porte pour le faire rentrer et en me précipitant sous le drap pour me couvrir jai senti ma chatte me picoter !
Tu es une salope ma chérie ! Rétorque Maïté en souriant. Rassure-toi je suis contente que ce soit avec Jean. Dailleurs vous mavez promis la soirée. Je compte sur vous ! Enfin
si Jean le veut bien !
Bien sûr ! Je naurais jamais pensé pouvoir tintéresser. Je me marrais en voyant les mecs te faire des propositions. Mais jai très envie de moccuper de toi
avec Marie bien sûr !
Tu es un cochon ! Mais dis-moi ma chérie, tu ne mas pas beaucoup parlé de ta conquête
Nadia, cest ça ?
Si tu veux, dis-je, je vais ten parler moi.
Daccord ! » Je raconte alors comment jai remarqué lintérêt de cette femme pour Marie. Une belle femme la quarantaine dorigine berbère avec de grands yeux, une peau mate et une poitrine
« Comme la tienne ! Je suis sûr quentre autre cest ce
détail qui a plu à ta chérie. Tu sais que tu as fait fantasmer beaucoup dhommes, y compris moi, quand tu portais un petit haut très décolleté sans rien dessous.
Petit coquin ! Cest vrai ma chérie ? Ce sont ses seins qui tont attirée ?
Je
Peut-être aussi, mais cest surtout ce salaud qui ma attirée dans les bras de Nadia.
Bon sache que je ne ten veux pas ! Je tai toujours dis que tu pouvais aller voir ailleurs. Par contre, vous mavez bien excitée tous les deux au téléphone, alors jai très envie de vous voir à luvre.
Tu permets ? Dis-je en lui prenant la main. Jai dabord très envie de te déshabiller et de découvrir ton corps. Ça fait si longtemps que je bande pour toi ! Ta chérie va ensuite te bouffer la chatte pendant que je la prendrai en levrette. Tu auras ainsi le spectacle
et le plaisir !
Jai aussi très envie de vous voir tous les deux.
Ne tinquiète pas ! Nous avons toute la nuit !
Tu crois que tu vas tenir entre nous deux ?
Quand je serai vidé, je sais que vous aurez de quoi vous occuper et je profiterai alors du spectacle. » Maïté se lève et je la prends dans mes bras. Son corps est brûlant. Son regard, malgré le grand sourire, trahit son émotion ou sa crainte. - « Tu es sûre de vouloir le faire ?
Oui ! Salaud ! Moi aussi je bande pour toi !
Marie. Déshabille-toi pendant que je moccupe delle !»
Je me penche pour embrasser la rousse flamboyante. Je me rends compte alors quelle est assez petite. Elle vient de retirer ses chaussures. Elle qui porte toujours des talons hauts, mapparaît complètement différente. Elle mabandonne ses lèvres pulpeuses et sa langue cherche aussitôt la mienne. Elle est au moins aussi goulue que sa maîtresse. Est-ce que toutes les gouines sont comme ça ?
Je détache sa longue chevelure ce qui change aussitôt sa silhouette. Je commence alors à lui retirer ses vêtements. Je fais glisser sa robe sur les hanches tout dabord puis à ses pieds. Elle se retrouve en sous vêtements devant nous. Marie nen perd pas une miette non plus
Volontairement, je lui laisse le soutien gorge pour avoir le plaisir de faire jaillir sa somptueuse poitrine au dernier moment. Sa culotte descendue, je découvre sa toison de rousse bien taillée autour du sexe. Enfin je lui demande dôter elle-même son soutien gorge abondamment garni.
« Tu es superbe ! Franchement, jai attendu toutes ses années et je ne regrette pas de te découvrir. Quel dommage de cacher ces trésors !
Nexagère pas tout de même !
Pas du tout ! Tu es magnifique ! Jai hâte de goûter à ta chatte de rousse !
Je sens fort tu sais
Je
coule !
Je vais me régaler ! Je suis jaloux de Marie qui a dû y goûter souvent !
Elle adore me bouffer la chatte cette coquine !
Je la comprends, viens ! »
Je plonge entre ses cuisses qui sécartent pour maccueillir. Bien avant de poser ma langue, son parfum de rousse envahi mes narines. Certains hommes naiment pas lodeur des rousses mais moi jadore. Je me délecte de son parfum intime et de sa corolle qui baille dont un liquide sécoule déjà.
Maïté a une silhouette plutôt généreuse sans être grosse. Sa poitrine et son bassin sont développés et avec sa taille fine, ils ressortent encore plus.
Depuis toutes ces années où des hommes lui tournaient autour et quelle repoussait en se retranchant parfois sur sa situation de lesbienne, je découvre enfin le corps pulpeux de cette femme que je ne pensais jamais voir, ni tenir dans mes bras. Je la fais asseoir dans le canapé tout proche, écarte ses jambes et plonge mon visage dans sa chatte odorante. Fabuleux ! Le parfum intime de la rousse est comme un aphrodisiaque ! Maïté coule abondamment et gémit tout aussi fort.
Marie vient sasseoir à côté de sa compagne et les deux femmes sembrassent. Marie caresse les seins de Maïté qui sabandonne à nous. Mes genoux et ma nuque sont douloureux, mais je veux faire jouir la rousse avec ma langue et deux doigts. Il sera bien temps ensuite de men occuper avec ma bite. Je sais par Marie quelle ne déteste pas lintromission, certes avec un gode, mais je suis sûr quen présence de Marie elle va se laisser aller.
Maïté coule de plus en plus. Sa toison se gorge de cyprine et mon nez collé à ses poils se remplit de sa senteur de rousse. Jai introduit deux doigts dans sa chatte et cherche le point G. Elle se cambre, gémit, écarte encore plus ses cuisses en ouvrant ses grandes lèvres des deux mains, puis se lâche dun coup. Son cri se perd dans la bouche de sa chérie et ses cuisses bloquent ma tête comme un étau. Je mabreuve de son suc alors que les deux femmes sembrassent.
Marie se penche alors vers moi et me chuchote « Prends-là ! »
Je me redresse et cest Marie elle-même qui att ma queue pour la présenter devant la chatte de sa chérie. Quand mon gland est entré, elle appui sur mes fesses et me pousse à lintérieur. Elle a pris la main de Maïté comme pour laccompagner dans ce moment. Elle lui caresse les seins, suce un téton.
Le corps de Maïté se couvre de transpiration, sa peau de rousse devient cuivrée et elle agite sa tête de gauche à droite. Ses gémissements se transforment en cris et elle jouit à nouveau en feulant.
Marie se penche sur elle et lembrasse. Je me retire sans avoir jouit pour rester encore opérationnel. Nous entourons notre amie qui se remet peu à peu de son orgasme dévastateur.
La pièce est remplie de lodeur de sexe. Maïté transpire beaucoup et nous ne sommes pas en reste. Il faut dire que la coquine a poussé le chauffage avant notre arrivée.
Nous sommes tous les deux de part et dautre de Maïté. Je lembrasse et caresse un sein alors que Marie la caresse sur tout le corps. Sa main descend entre ses cuisses et caresse son bouton. Maïté réagit aussitôt.
Marie plonge deux doigts dans la chatte gluante. Les gémissements de Maïté saccentuent. Marie introduit maintenant quatre doigts le pouce maltraitant le bouton érectile et me demande de regarder. Jassiste alors à mon premier « fist » en direct. Marie joint son pouce aux autres doigts et senfonce peu à peu entre les lèvres distendues.
Lopération est impressionnante ! Louverture sagrandit.
Marie fait une pause avant dentamer un va et vient dans la chatte de sa maîtresse qui agite sa tête dans tous les sens et brame de plaisir. Latmosphère déjà moite devient brûlante. Je suis fasciné par ce bras engagé dans sa chatte qui semble labsorber sans peine. « Regarde » me lance alors Marie « Je ferme le poing dans sa chatte » Elle agite alors son bras en va et vient dans le vagin de sa compagne comme une sorte de piston monstrueux ! Maïté se cambre, projetant son bassin à la rencontre de ce bras qui la perfore, souffle fort en récupérant jambes largement écartées. Elle saccroche à moi comme à une bouée de sauvetage. Enfin, après une dernière cambrure de son corps qui ne touche plus le lit que de la tête et des talons, elle seffondre, anéantie par un orgasme démentiel.
Délicatement après ce moment de folie, Marie retire sa main de la chatte qui reste béante quelques secondes avant de retrouver sa forme primitive.
- « Viens ! Prends-moi ! Je suis trop excitée ! » Me lance Marie en se positionnant à genoux aux côtés de son amante. Je suis moi-même tendu à lextrême. Je pointe ma queue sur sa chatte, mais cest ailleurs quelle veut la sentir. Elle matt et pointe mon dard sur sa rosette « Prends-moi le cul ! »
Comment résister à une telle demande ? Jembroche Marie Hélène qui pousse un cri, non pas de douleur mais de plaisir. Lentement car je veux profiter du moment, jencule ma partenaire. Maïté, qui se reprend après son énorme orgasme nous observe en se caressant le clito. Placée comme elle est elle a une vue directe sur la croupe de sa chérie, aussi je ressors parfois complètement du conduit étroit lui permettant de voir lanus dilaté que je réinvesti aussitôt sans problème.
Marie gémit sous la pénétration. Elle passe un bras entre ses jambes et se caresse elle-même le bouton. Son orgasme monte et quand ses sphincters se contractent sous le plaisir jéjacule dans son cul.
Nous sommes « vidés » tous les trois et un moment de repos simpose. Couché entre les deux femmes je récupère peu à peu.
Je laisse les deux femmes au matin. Je dois en effet rendre la voiture du club et ne veux pas me faire remarquer.
Je ne referai plus lamour avec Maïté. Marie ma dit un jour quelle était jalouse de la relation que javais avec elle, même si cétait épisodique et qu'elle vivait toujours avec elle. Maïté ne lui interdisait pas mais disait souffrir de nous savoir ensemble. Elle avait aimé nous voir tous les deux mais en même temps avait vu le plaisir pris par sa chérie avec un homme. Même si elle aussi avait eu du plaisir, elle ne voulait pas renouveler lexpérience. Nous sommes malgré tout restés amis et nous voyons avec plaisir.
Je revois toujours Marie et quand les circonstances le permettent nous faisons lamour avec toujours autant de plaisir. Entre nous il nest pas question damour mais de plaisir partagé. Dune relation purement sexuelle. Elle sait que je vois dautres femmes et cest vrai que jadore faire lamour avec cette femme. Je crois que cest son côté androgyne qui me plaît. Cest aussi la seule femme plus grande que moi que je connaisse. Un mélange curieux qui mattire.
De part nos fonctions sportives, nous avons souvent lopportunité de nous rencontrer hors de nos lieux habituels. Marie a passé des examens pour être commissaire-arbitre et peut ainsi retrouver Nadia assez régulièrement. Dans le milieu dailleurs les gens savent que les deux femmes sont gouines et les laissent tranquilles. Jai eu loccasion deux ou trois fois de les retrouver, ce qui na pas manqué de faire jaser, mais les hommes qui étaient au départ jaloux de mes rapports avec elles, se révélaient finalement heureux pour moi dautant quils pouvaient ensuite minterroger sur ces deux femmes, attirantes par ailleurs.
Certains, moins lourdingues que dautres, ayant compris mon message, ont pu profiter des charmes de Nadia en dehors de la présence de Marie, car, lorsquelles se retrouvaient toutes les deux sur la même épreuve, ils savaient quelles étaient « en couple ». En revanche, Marie navait de rapport masculin quavec moi, javais bien essayé de lintégrer une fois au cours dune soirée mais elle sétait refusée à tout contact avec un autre homme.
Parfois, après une soirée ou une nuit de sexe nous appelions Nadia.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!